Plusieurs types de connectiques existent sur le marché, et depuis l'avènement du « tout numérique » les connectiques analogiques tendent à disparaitre en imagerie scientifique, et plus particulièrement en acquisition d'images à grande vitesse (AIGV). Ceci est directement lié à la bande passante et à la vitesse de transfert de la connectique et du matériel y afférent. Si des formats du type PAL (CCIR) et les bons vieux connecteurs vidéo « banane » jaune existent encore dans le monde de la vidéo à 25fr/s, on s'oriente à terme vers des connectiques dédiées à l'instrument, telles les IEEE1394 a, et b (FireWire 2 ou FireWire Gigabit, fig.41)) qui se distinguent tant par la forme du connecteur que par leur taux de transfert, respectivement de 100 à 400 Mo/s et de 800 à 3200Mo/s. On trouve également du Gigabit Ethernet,GigE interfacé par des câbles RJ45, soit pour du transfert rapide et un streaming sur disque SATA, soit pour décharger la mémoire embarquée de caméras ultrarapides.